Objectif Glasgow 76 – Larqué, joueur français n°1

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Dernier blog : Brèves de Noël

Au mois d’août 1975, les relations entre Jean-Michel Larqué et Roger Rocher étaient pour le moins tendues. Alors que le capitaine stéphanois semblait pressé de prolonger l’aventure en Vert, l’homme à la pipe ne l’entendait pas de cette oreille. Les deux hommes sont restés sur leurs positions jusqu’à ce mois de décembre. Depuis cet été orageux entre les deux hommes, de l’eau a coulé sous les ponts. Herbin et ses joueurs se sont qualifiés pour les quarts de finale de la Coupe des Clubs Champions et ont refait leur retard sur Nice en Championnat.

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Objectif Glasgow 76 – Brèves de Noël

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Dernier blog : Saint-Etienne-Metz :
Noël aux tisons pour les Verts

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Roger Rocher peut partir en vacances l’esprit tranquille. Ses joueurs ont réussi le pari que leur avait lancé leur président : rattraper Nice avant la trêve. Après la double confrontation contre les Glasgow Rangers, Herbin et ses joueurs sont partis à l’abordage du leader niçois, alors inébranlable. Depuis leur premier titre de Champion de France en 1957, les Verts ont connu des situations similaires. Retour sur vingt ans d’échappées réussies ou manquées.

1963-64 : Saint-Etienne compte 4 points d’avance sur Lens, Lyon et Monaco à la 20e journée. Il en conserve longtemps 2 ou 3 avant d’être rejoint par les Monégasques (28e j.). Il reprend la tête et termine avec 3 points d’avance sur Monaco.

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Objectif Glasgow 76 – Saint-Etienne-Metz : Noël aux tisons pour les Verts

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Dernier blog : Avignon-Saint-Etienne :
les Verts se rapprochent du podium

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Revivez le match aller : Les Verts font recette en Lorraine

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La victoire de Saint-Etienne à Avignon (3-1) n’a pas empêché Nice de s’adjuger le titre honorifique de champion d’automne. A mi-parcours, les deux équipes caracolent en tête de la Division 1. Avec le même nombre de points (29), l’équipe azuréenne reste sur la plus haute marche du podium grâce à sa meilleure différence de buts. Au soir du 4 octobre (9e journée), Markovic et ses joueurs comptaient 8 points d’avance sur ses poursuivants. Mais lors de la 10e journée, un premier tournant allait s’opérer. Invaincu jusqu’alors, Nice, comme Saint-Etienne quelques semaines plus tôt, allait tomber au stade Vélodrome (1-0). Dès lors, Metz et Saint-Etienne, toujours à l’affût, se lançaient à la poursuite de Niçois fragilisés par cette défaite. Leur avance allait fondre comme neige au soleil.

Le
Le 26 septembre, les Niçois, en arrachant le match nul (1-1) au stade Geoffroy-Guichard, ont préservé leur avance au classement.

Au terme des matches aller, les Stéphanois ne sont pas champions d’automne mais ils ont comblé leur retard. Pour Roger Rocher, cela constitue une première victoire. « Depuis notre victoire de Glasgow qui nous qualifiait aux quarts de finale de la Coupe d’Europe, dit le président stéphanois, notre progression en Championnat a été constante. »

« Nous sommes à égalité de points avec Nice ; notre tableau de marche est meilleur que celui de la saison dernière à cette date puisque nous avons obtenu plus de points et plus de victoires. »

Rocher Rocher

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Objectif Glasgow 76 – Avignon-Saint-Etienne : les Verts se rapprochent du podium

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Dernier blog : Saint-Etienne-Bastia :
Les Verts dans les pas de Nice

Ce samedi 13 décembre, la Division 1 connaîtra son champion d’automne. Seuls Nice (28 points) et Saint-Etienne (27) peuvent occuper le fauteuil de leader. Dès la semaine suivante, ils disputeront un dernier match -le premier des matches retour- avant de prendre un repos bien mérité. A Saint-Etienne, rarement la trêve n’aura été aussi attendue. Avant le déplacement à Avignon, Robert Herbin va devoir composer sans cinq de ses internationaux. Et comme si cela ne suffisait pas, Owasldo Piazza sera lui aussi absent pour cause de suspension. Déjà privé de Janvion, lui aussi condamné au purgatoire, l’entraîneur stéphanois doit recomposer la moitié de sa défense. Privé également des frères Revelli, de Sarramagna et de Merchadier, Synaeghel est venu s’ajouter à la longue liste des éclopés.

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Objectif Glasgow 76 – Saint-Etienne-Bastia : Les Verts dans les pas de Nice

BASTIA

Dernier blog : Monaco-Saint-Etienne :
premier tournant de la saison

Lundi 1er décembre. Il y a des victoires qui se savourent plus que d’autres. A défaut de football Champagne, les joueurs stéphanois ont bien mérité de boire une petite coupe après l’entraînement. Robert Herbin ne veut pas s’attarder sur la belle victoire de ses joueurs et les trois buts inscrits au stade Louis II. Tout juste reproche-t-il la prestation médiocre de M. Bancourt, l’arbitre du match. « Je lui reproche son insigne faiblesse lorsque Chauveau est venu le secouer et contester sa décision. De toute évidence, cette intervention déplacée du gardien monégasque, pourtant très courtois à l’habitude, méritait une expulsion pure et simple. En dépit des incidents regrettables de la fin du match, nous revenons à la corde… après avoir compté, il n’y a pas si longtemps, 8 points de retard. C’est de bonne augure ! »

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Objectif Glasgow 76 – Monaco-Saint-Etienne : premier tournant de la saison

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Dernier blog : Saint-Etienne-Sochaux :
Rocheteau se taille la part du Lion

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« Maintenant, c’est bien reparti ! Nous avons retrouvé notre équilibre, notre stabilité et notre rythme de croisière. » La victoire contre Sochaux semble avoir reboosté Robert Herbin. Certes, les Stéphanois n’ont pas décroché le bonus mais ils peuvent se consoler en se disant que Nice a aussi gagné par le plus petit des scores contre Valenciennes (1-0). Les hommes de Markovic n’évoluent plus avec la même sérénité du début de saison. Pourtant, cette légère baisse de régime ne semble pas inquiéter l’entraîneur niçois : « Un entraîneur qui gagne est un bon entraîneur ! Une équipe qui gagne est une bonne équipe. Rappelez-vous la saison dernière : Saint-Etienne a gagné plusieurs matches par l’écart le plus minime qui soit. Personne n’a rien trouvé à redire. »

« On joue moins bien actuellement, mais on a toujours cinq points d’avance sur Saint-Etienne. »

Jean-Noël Huck (Nice)

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Objectif Glasgow 76 – Saint-Etienne-Sochaux : Rocheteau se taille la part du Lion

SOCHAUXe

Dernier blog :
Nancy-Saint-Etienne : les Verts préservent l’essentiel

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L'Equipe, 25 novembre 1975.
L’Equipe, 25 novembre 1975.

« A Nancy, Piantoni contre lequel j’aurais joué jadis, m’avait dit que l’équipe de Nancy était assez irrégulière dans ses performances. Contre nous, elle a été excellente. C’est pour cela que nous n’avons pu gagner. » Robert Herbin aime à répéter que pour devenir champion de France, il ne faut pas perdre chez l’adversaire et savoir gagner à domicile. Au stade Marcel-Picot, ses joueurs ont appliqué à la lettre le discours de leur entraîneur. Ils n’ont pas perdu mais avaient-ils les moyens de gagner ? Rien n’est moins sûr. En décidant de n’aligner que le seul Dominique Rocheteau en pointe, les Verts ont préservé l’essentiel : le point du match nul. Le compteur du jeune attaquant international n’a pas bougé d’un iota et reste par conséquent toujours bloqué à quatre réalisations.

Larqué prolonge enfin

« Je ne vois pas où je serais mieux qu’à Saint-Etienne ». Par ces paroles, fin juin, Jean-Michel Larqué faisait un appel du pied à ses dirigeants. Quelques trois mois plus tard, le président Roger Rocher et son capitaine se sont enfin mis d’accord pour poursuivre l’aventure en Vert. Jean-Michel Larqué est désormais lié à l’AS Saint-Etienne pour deux saisons supplémentaires.

FranceFootball, 25 novembre 1975.
FranceFootball, 25 novembre 1975.

« Sarra » et Revelli toujours convalescents

revelli (patrick)
Patrick Revelli poursuit sa convalescence. L’ailier stéphanois entrevoit le bout du tunnel.

Christian Sarramagna retrouve petit à petit le sourire. L’ailier gauche stéphanois bénéficie à nouveau d’une flexion quasi complète de l’articulation de son genou opéré. Depuis son retour, il ne cesse de vanter les installations du centre de remise en forme tenu par Louison Bobet à Quiberon : « L’institut bénéficie d’un appareillage et d’une organisation remarquables. Par ailleurs, le climat tonifiant de l’endroit permet des rétablissements spectaculaires. Compte tenu de mon état satisfaisant, je vais commencer à trottiner. D’ici un mois ou deux, j’espère être prêt à reprendre de l’activité au sein de l’équipe… et cette fois, pour longtemps ! » Patrick Revelli n’a pas accompagné son « Sarra » dans le Morbihan, mais sa convalescence devrait durer moins longtemps. Les deux hommes ont même engagé des paris à qui reprendrait la compétition le premier.

Contre Sochaux, Robert Herbin se voit à nouveau contraint de mettre sur pied une attaque expérimentale. Il a décidé de revenir à un système à trois attaquants avec Rocheteau, Schaer et Larios. Ce dernier, victime de crampes contre Strasbourg, espère cette fois, tenir les quatre-vingt dix minutes. Remplacé par Pierre Repellini à la 76e minute, le jeune Stéphanois, malgré ses deux buts, s’en voulait de ne pas en avoir ajouté un ou deux autres qui auraient permis aux Verts d’accrocher le bonus. « C’est de ma faute si l’on n’obtient pas le bonus, dit-il en pleurant. Je n’ai pas tenu la distance. » Ce à quoi il s’est entendu répliquer par son entraîneur, assis tout près de lui : « Tu as bien fait ce que tu as fait. Cesse tes jérémiades et continue à travailler. » Bonus ou pas bonus, seule la victoire comptera pour Saint-Etienne.

 

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 SOCHAUX EN BREF

A l’intersaison, les supporters sochaliens n’affichaient pas un optimisme débordant. Avec pour seule recrue le Parisien Eric Renaut, ils se demandaient s’ils n’allaient pas revivre le même début de saison calamiteux qu’en août 1974. Après cinq matches -dont les deux premiers à domicile-, les doubistes n’avaient glané aucun point et il fallut attendre la venue de Nîmes pour qu’ils débloquent enfin leur compteur dans cette Division 1. Pendant cette période de vaches maigres, Gérard Soler, incorporé au Bataillon de Joinville, avait eu du mal à concilier son service militaire et les matches du week-end avec son club. Devant l’urgence de la situation, Sochaux s’est alors décidé à recruter un attaquant. L’arrivée de Robert Pintenat (ex-Nîmes) a alors redonné un souffle nouveau à l’attaque sochalienne.

« L’ère des grandes vedettes est passée »

Collection Panini 1976.
Collection Panini 1976.

Cette saison, les craintes ont été assez vite dissipées. Au mois d’août, le club de la métropole de l’automobile qu’est Montbéliard a tourné à plein régime. Certes, l’équipe entraînée par Paul Barret n’a jamais eu la prétention de lutter avec des clubs comme Nice et Saint-Etienne mais la perspective de finir dans les cinq ou huit premiers ne semble plus être un objectif déraisonnable. « A Sochaux, l’ère des grandes vedettes est passée depuis longtemps, dit Paul Barret, l’entraîneur sochalien. Nous devons donc, pour réussir, baser notre jeu sur un football très collectif. Or, l’an dernier, nous avions deux joueurs d’excellente qualité, certes, mais qui n’étaient guère collectifs. Je veux parler de Piasecki, muté au Paris-SG et Lechantre, parti à Monaco. »

Le sérieux de Seles

La grande force de Sochaux réside dans sa défense. Le libero Rolland Courbis s’est très bien réadapté au football français après une saison à l’Olympiakos . Son entente avec le stoppeur Laszlo Seles est remarquable. A propos du Yougoslave, Salif Keita, lorsqu’il jouait à Saint-Etienne, vouait une admiration particulière pour ce défenseur central étranger. L’attaquant malien, qu’il a souvent croisé sur son chemin, ne tarissait pas d’éloges à son encontre : « Seles est incontestablement le meilleur stoppeur opérant en France. » Le compliment du Malien était également partagé par des joueurs de grand talent : Josip Skoblar ou Carlos Bianchi qui ont souvent loué ses mérites et vanté ses talents.

Photo : Football Magazine.
Photo : Football Magazine.

Une attaque retrouvée

Le trio d’attaquants composé de Pintenat, Maier et Soler fait à nouveau parler de lui. Gérard Soler, après une mauvaise passe, est redevenu le joueur qui enchantait le stade Bonal. Début octobre, après leur match nul à Nantes (2-2), les Lionceaux se hissent même sur la troisième marche du podium de Division 1. Il y a bien longtemps que Sochaux ne s’était trouvé en pareille position. A l’extérieur, les hommes de Paul Barret sont particulièrement convaincants comme le confirment leurs deux succès à Bordeaux et à Nîmes.

FranceFootball, 19 février 1974.
FranceFootball, 19 février 1974.
Sochaux Equipe
Collection Panini 1976.

A Saint-Etienne, Sochaux se déplace avec une équipe quelque peu décimée. Quatre joueurs sont indisponibles : Klijnjan, Wasmer, Maier et… Soler. Paul Barret sait qu’au stade Geoffroy-Guichard, ses joueurs vont subir. Il a donc décidé de renforcer son milieu de terrain en titularisant Jean-Paul Pfertzel à la place du jeune Meyer. Il a délaissé son habituel 4-3-3 pour un prudent 4-4-2.

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ASSE-Actualités - Collection personnelle de M. Philippe Gastal, Musée des Verts.
ASSE-Actualités – Collection personnelle de M. Philippe Gastal, Musée des Verts.

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Le compte-rendu du quotidien L’EQUIPE

L'Equipe, 27 novembre 1975.
L’Equipe, 27 novembre 1975.

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 SAINT-ETIENNE-SOCHAUX : 2-0

Spectateurs : 12 548. Recette : 153 548 F. Arbitre : M. Conrath. Buts : Rocheteau (33e, 75e).
Saint-Etienne : Curkovic – Janvion Piazza, Lopez, Farison – Larqué, Bathenay, Santini – Rocheteau, Schaer, Larios (Synaeghel, 70e). Entr.: Herbin.
Sochaux : Rust – Dufour, Sélès, Courbis, Posca, Djaadaoui – Renaut, Pfertel, Guttierez – Pintenat, Roy (Benoît, 70e). Entr.: Barret.

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L'Equipe, 27 novembre 1975.
L’Equipe, 27 novembre 1975.

 « La roue de la chance tourne ! »

Saint-Etienne s’est imposée 2 à 0 face à Sochaux. Après les deux buts inscrits par Larios contre Strasbourg, c’est au tour de Rocheteau de réaliser un doublé. Ce mercredi soir, il s’est taillé la part du Lion en inscrivant son cinquième et sixième buts de la saison. Ces deux buts s’ajoutent à ceux inscrits contre Marseille (2), Nice et Bordeaux. « Après la Coupe d’Europe, nous avons marqué le pas, constate le buteur de la soirée. Mais nous repartons maintenant du bon pied. Le bonus nous tourne jusqu’à présent délibérément le dos, mais nous devrions être bientôt plus heureux car la roue de la chance tourne ! »

Si le résultat satisfait joueurs et dirigeants, tous ou presque regrettent une nouvelle fois d’avoir laissé échappé ce fameux bonus qui les rapprocherait un peu plus du leader niçois. Roger Rocher, une nouvelle fois, ne pouvait s’empêcher de pester contre le manque de réalisme dont ont fait preuve ses joueurs. « C’est regrettable d’avoir laissé échapper un point que nous avons eu maintes et maintes occasions au bout du pied. »

Herbin au secours de Santini

Jacques Santini, moins fringant qu’à l’accoutumée, a été conspué par une partie du public. Cette attitude, pour le moins surprenante, n’a pas été du goût de Robert Herbin : « J’ai été déçu par le public. Je ne comprends pas pourquoi il a réclamé la sortie de Santini après deux malheureuses passes. J’estime que nous avons obtenu un bon résultat et nous avons mieux terminé que devant Strasbourg. Nous avons frôlé le bonus, après avoir été bien soutenus par nos supporters. Il n’empêche que la position de certains, vis-à-vis de Santini, n’est pas digne de vrais sportifs. »

ST ETIENNE
Contre Sochaux, Jacques Santini s’est fait conspué par une partie du public. Herbin regrette l’attitude de ce dernier.

Dans le vestiaire sochalien, Paul Barret reconnaît très sportivement que la défaite de son équipe ne souffre d’aucune contestation. « Saint-Etienne, on ne peut le nier, était le plus fort. On n’était pas de taille à créer la surprise. On se contente de peu mais nous n’avions pas l’intention, ni la prétention de dominer Saint-Etienne. » René Hauss, le directeur sportif, est, quant à lui, catégorique : « Il nous manquait trop d’éléments de base. Il n’y a rien à dire. Nous méritions nos deux buts d’écart. »

La prochaine journée pourrait être décisive dans la course au titre honorifique de Champion d’automne. Herbin et ses joueurs se déplaceront à Monaco pendant que les Niçois rendront visite aux Lyonnais.

Thierry CLEMENCEAU

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Pendant ce temps-là…

Jean-Marc Schaer, l’avant-centre stéphanois, a été une nouvelle fois retenu parmi les 22 joueurs qui rencontreront la Roumanie le 3 décembre à Blois.

L'Equipe, 27 novembre 1975.
L’Equipe, 27 novembre 1975.

Le terrain de l’Eintracht Francfort n’a jamais porté chance au Bayern Munich. Cela s’est encore vérifié lors de la 15e journée de Bundesliga. Les coéquipiers de Sepp Maier ont volé en éclats en s’inclinant 6 à 0. Malgré le retour de leur Canonnier Gerd Muller, les dirigeants bavarois songent à renforcer leur ligne offensive. Parmi les pistes explorées, l’une mène en Yougoslavie. Dettmar Cramer, l’entraîneur munichois, a assisté à la rencontre Partizan-Velez (2-0) pour superviser l’avant-centre international Nenad Bjekovic.

Th.C.

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« C’est notre plus belle victoire… »

Quatorze anciens Verts se sont retrouvés au Musée des Verts pour le vernissage de l’exposition « 40 ans après… Retour sur l’épopée des Verts », visible jusqu’au 15 mai 2016. L’occasion pour les instigateurs de la meilleure saison de l’histoire du club de se remémorer les moments qui ont façonné l’une des plus belles pages du sport français. Retrouvez les anciens Verts sur :

ASSE.fr

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Plus de 100 000 visiteurs ont parcouru le Musée des Verts depuis son ouverture le 20 décembre 2013. Et vous ?

http://www.museedesverts.fr

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Objectif Glasgow 76 – Nancy-Saint-Etienne : Les Verts préservent l’essentiel

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Dernier blog :
Saint-Etienne-Strasbourg : au tour de Larios

Jean-François Larios se souviendra longtemps de ses grands débuts au stade-Geoffroy-Guichard. Auteur des deux buts de son équipe contre Strasbourg (2-1), l’habituel pensionnaire de la Division 3 n’a nullement été impressionné par ce changement de catégorie. Contre les Alsaciens, il disputait son deuxième match avec les professionnels. En effet, le 22 décembre 1974, il avait connu son grand baptême du feu à Nîmes (0-0). A seulement 20 ans, il a confirmé tout le bien que l’on pensait de lui.

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Objectif Glasgow 76 – Saint-Etienne-Strasbourg : au tour de Larios

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Dernier blog :
France-Belgique : Les adieux contrariés de Kovacs

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L’intermède de la Coupe d’Europe des Nations est terminé. La page Stefan Kovacs est aussi définitivement tournée. Dominique Rocheteau et Jean-Michel Larqué, les deux internationaux stéphanois, ont regagné leur club en train dès le samedi soir. Pour les Espoirs, victorieux à La Louvière en Belgique, c’est par la voie des airs qu’ils ont rejoint Saint-Etienne. Le samedi, sitôt le match terminé, Robert Herbin, accompagné de Pierre Garonnaire, s’est engouffré dans le petit avion de sept places spécialement affrété par l’ASSE. Bathenay, Lopez et Janvion n’ont pas trop eu le temps de goûter à la victoire des jeunes Bleus. A 19 h 30, ils étaient de retour dans la Loire.

L'Equipe, 17 novembre 1975.
L’Equipe, 17 novembre 1975.

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